Jusqu’au 5 janvier dernier, le Palais de Tokyo confiait l’espace de la « grande verrière » à l’artiste malgache Malala Andrialavidrazana. Cette œuvre monumentale sur un mur courbe de près de 60 mètres de longueur a permis à l’artiste de réagencer le travail de photomontages numériques qu’elle montre dans le monde entier depuis 2015 pour en faire une proposition inédite, démultipliée à l’échelle de l’architecture. Elle constituait ainsi à la fois une exposition personnelle, sa première dans une institution publique à Paris et une rétrospective incluant de nouvelles œuvres.

Sous le commissariat de François Piron, le Fonds Yavarhoussen a accompagné cette exposition ainsi que le catalogue, paru aux Éditions Dilecta.